"...Click... et voilà, c'est fait."


Va savoir quelle force m'a vraiment poussé à revenir. La nostalgie? Un repère perdu? Une envie? Quelle envie?

Celle qui vous fait jeter un flot d'encre pixelisé chargé de vos amertumes comme de vos lumières intérieures. C'est propre à n'importe quel être de chair de s'exprimer béatement, il n'y a que l'homme trop peu entreprenant pour se retenir... jusqu'à ce que tout explose. Merci à ces pages de permettre cette canalisation et de pouvoir la partager.

Alors, pour arroser cette ouverture, laissons quelques minutes cette humilité maladive de côté et passons aux présentations.
 
START

Pardadox - Swarth. 25 balais.
Pourquoi Paradox? Car c'est la représentation de la dualité de ces deux forces qui se croisent le fer non-stop dans mon esprit. A la violence répond l'accalmie. A la haine, la compassion. A la raison, le profond ressenti sans barrière éthique. A l'ambition, la farniente la plus végétative. A l'humilité, la pédanterie insolente. Et moi, le cul coincé entre deux chaises, je pense y trouver la sagesse, je n'y trouve qu'une étrange sensation d'inconfort et d'incompréhension.
Pourquoi Swarth? Parce que je rampe dans une ombre opaque, parce qu'il fait noir, ce blog est noir, et même avec tout l'amour, l'eau de rose et les kilos de guimauve possible, mes idées sont NOIRES !

Déjà présent sur Cowblog, il fut un temps. 2006 - 2008, je crois... pas loin. Room -Zero, une pièce ouverte constamment étiquetée de ground zero par les autorités compétentes de mon cerveau, en raison des nombreuses déflagrations et de son indice de radioactivité psychique à haut risque.
Room-Zero traite de la vie. On y parle de musique. On y parle d'expériences, de réflexions et de passions. On y gueule un bon coup, on y traites des sujets avec sarcasmes et cynisme. Pourquoi? Parce que ça fait du bien.

Activités : Régisseur son dans le spectacle. Ex-technicien de maintenance industriel. Chroniqueur au chômage sur un webzine metal. Bassiste débutant.
Aime : La musique, la bière, la cuisine, les échanges, le travail manuel et jeter ses pensées torturées en pâture à cet espace. Pourvu que ce soit lui qui en explose.

 
STOP

Bon, ça c'est fait. On peut démarrer, je crois...